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Ici, nous allons partager notre vue sur l’histoire ainsi que sur la philosophie et la politique. On va vous faire connaître notre opinion, la position que nous défendons et notre attitude en face de se qui se passe à ce moment au niveau social et culturel à travers de nos travaux. Ainsi, nous cherchons à faire apparaître un autre point de vue que l'on le reçoive d'habitude par le ronron emberlificotant des médias. Nous voudrons débrouiller les vapeurs de l'enjôlement médiatique pour mieux pénétrer dans l'aventure du réel. Il faut assumer la responsabilité que nous confie notre raison et sortir de la geôle protectrice. Il faut que nous osions savoir, nous devons risquer agir que de rester simples spectateurs devant les vitrines d'une politique de trompe l’œil.

En particulier, nous vous invitons à y bien vouloir découvrir quelques aspects inédits de l'histoire et de la théologie du 16ème siècle à partir de nos recherches à ce qui concerne la vie et l’œuvre du Cardinal Jean Gropper (1503-1559) qui se trouve au centre de nos intérêt depuis que nous l'eussions connu par hasard lors d'un séminaire en dogmatique à la faculté théologique au sujet de la discussion du questionnement autour de la « Intercommunion », c'est à dire la problématique de l'assistance et la participation des protestants à la messe et à la communion ainsi que l'assistance des pasteurs à l'eucharistie.

Sur le fond de nos recherches liées à Jean Gropper, la Réforme catholique et la Réformation, nous nous fussions bientôt emballé pour l'époque de la Renaissance autant que pour cette époque même pendant les confessions se fussent consolidées. Une époque que les historiens du 19ème siècle touts  attachés aux nationalismes européens, dévoués à la défense de prétendues mœurs et une moralité rigide et toute enchevêtrés dans leur combat-d'arrière-garde contre la liberté avaient  à tort nommé « contre-réforme », terme plutôt inapproprié et inadapté pour désigné la réforme catholique dans toute son envergure.

Pendant nos études, nous avons pu découvrir les textes des libertins français du 17ième siècle tels que Bergerac, Saint-Pavin, de Viau et de beaucoup d'autres dont les biographies et œuvres nous cherchons à faire connaître dans le cadre de notre site pour pouvoir mieux comprendre les idées et la philosophie de l'age des lumières dont les acquis, notamment les droit des hommes et la liberté de la personne, sont tout à fait en danger suite à la mise à disposition de la politique au gré des marchés monétaires et au profit d'une économie globale dont les règles brutaux prétendent une universalité qui égale les lois naturelles. C'est notre démocratie, la liberté, les droits des hommes qui en sont l'enjeu !

Ainsi, nous vous invitons, outre cela, à découvrir sur notre site, nos pensées à l'égard de la philosophie contemporaine et la politique actuelle. Par contre, ces textes sont plutôt que de simples ébauches à compléter et achever. Par conséquent, nous appellerons cette rubrique « brouillon de pensées »

En tant que sculpteur et chanteur, nous visons en plus à mettre un accent particulier sur le rôle qui jouent les arts dans notre conception de ce monde ainsi que dans notre connaissance de la réalité. Autant transformeront-ils notre conscience du réel ?

Cependant, ce que nous préoccupe le plus, au moment, c'est la question qui se pose au sujet du terme « sacrifice » et la problématique qui en émerge. Son caractère présumé constitutif pour la société. Son caractère indispensable pour la collectivité politique. Son caractère indélébile dans notre conscience de nous-même. Ne devrions-nous pas concevoir plutôt une société sans se servir d'un modèle  aussi violent ? Existera-t-il une autre conception d’altruisme ? Puisse-t-on arriver à faire définir l'attitude sociale autrement que de toujours avoir recours à un terme qui rappelle l’archaïque pratique d'offrande aussi cruelle que sanglante ? A qui la conception du sacrifice sert-elle enfin ? A quoi bon après tout de distinguer une victime ? Quel soit le rapport qui relie la victime à son bourreau ? Quel rapport entre sacrifice et sexualité. Où en sommes-nous ? Comment procéder à la construction d’une société d'individus libres tout en remplaçant le sacrifice par l’amour ?

De notre avis, il faut mettre en cause toutes nos idéologies quel que soit leur origine.  Le libéralisme,  le capitalisme autant que la suprématie morale incontestée des religions. A quel point les religions méritent des égards particuliers avant d'autres idéologies ?

© André & Frank Hagemann - Villa-Anemone.fr 2012