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Littérature

Au centre d'intérêt de nos recherches figure surtout l'histoire du christianisme de l'ère de la Réforme du 16ième siècle comprenant les variés mouvements historiques qui eussent accompagnés la Réforme sur le plan politique ainsi que les différents développements culturels de la Renaissance qui eût eu  reforgé l'ensemble de la philosophie occidentale dont les sillons de laquelle l'apparence du christianisme se fût modifié à toujours.

Il est toujours assez difficile à déterminer les contours d'un époque historique, les faire se détacher du fond flou et brouillé du flux de l'ensemble de ce que nous appelons « L'histoire » et en faire enfin réapparaître ce qui convergera le mieux à ce que les hommes d'antan eussent perçu comme leur propre réalité. Après tout, quand on parle de « l'Histoire », il ne s'y agit pas d'un passé des faits accomplis. Il faut toujours prendre en considérations que « l'Histoire » soit plutôt un flux variable dont les éléments constitutif sont des humains. D'ailleurs, ce flux ne s'arrête pas dans ce que nous appelé « le passé » puisque ce passé imparfait ne se fût jamais terminé au point où nous la regardons, l'histoire fait converger le passé, son réel de ses faits et évènements, la réalité des hommes historiques, sa prétendue réalité tel que nous l'appréhendons et tel que nos prédécesseurs l'auraient interprété avec le présent, le réel de notre présent, la réalité du chercheur et celle-là de l'ensemble socioculturel ayant accompagné, imprégné et reforgé à tout moment nos conceptions de l'histoire, en un seul point.

Les époques historiques ne sont pas fixe. Ces termes représentent des valeurs approximatives dans les schémas académiques afin de pouvoir au moins se rapprocher au plus juste à un passé perdu à jamais. Tout a fait, les termes par lesquels nous désignons les époques historique ne sont pas aussi nets que l'on puisse imaginer. Ils ne déterminent pas une période exacte mais ils circonscrivent plutôt indistinctement limites vagues d'une indécise attitude culturelle commune à de certaines entité socioculturelle telle qu'elle se fût concrétisé dans le flux de l'ensemble des vraisemblable  variétés décisions virtuelles dans temps historiques au moment donné dont l'apparence changera en fonction de la totalité des variété possible qui délimitent la vue du chercheur respectif. Donc, ces termes sont balises flottant sur le flux des faits historiques qui servent à nous faciliter le repérage dans les brouillards épais de l'ensemble d'évènements qui forment enfin l'histoire.

Lors de nos variés travaux de recherche par rapport à la réforme catholique du 16ième siècle nous avons aussitôt voir que l'on n'arrivait point à une évaluation assez équilibrée des faits historiques  sans tenir compte de l'environnement historique, de l'entourage des personnes respectifs, des relations familiale, des réseaux sociaux de leurs rapports professionnels ou amicaux, bref il faut prendre en considération tout le plateau où se fût déroulé l'action historique laquelle on cherche à éclairer. Eu égard au fait que l'histoire se compose des histoires humaines, des personnes individuelles qui nous racontent leurs vies, leurs destins, leurs réussites ainsi que leurs échouages, bref ils nous racontent leur propre histoire à eux sans prétention ni présomption qui leur sera attribué par les interprétations quelconques à travers l'intervalle qui nous sépare de eux, on ne doit jamais perdre perdre de vue la vue d'ensemble de grandes lignes historiques. Il faut se rapprocher le plus proche possible au tout de l'évolution qu'eût fait une époque, il faut se rapprocher au plus juste à la totalité des évidences du legs historique si minimes ou insignifiant elles soient enfin.

Ainsi, les prélats ont toujours réclamé une vraie réforme dont la nécessité et l'urgence ne furent jamais contesté. On surnommait depuis toujours l'église la « sempra reformanda » celle à réformer sans cesse. Donc, il est évident que une véritable réforme de l'église figurait sur l'agenda politique  longtemps avant que Luther se fût mis à revendiquer la Reforme. Une réforme que l'on réclamait de plus en plus violemment depuis la fin du Concile de Constance et, après tout, une désidérata dont la réalisation ne se fût pourtant point arrêté pas avec seuls les édits réformateurs du Concile de Trente et leur mise en place laquelle se fût traîné enfin jusqu'à la révolution de 1789 dans quelques pays.

Mais y régnât la peur à Rome. Pas seulement, celle-ci à perdre son pouvoir, la toute puissance de la papauté puisque celle-là est plutôt un fantasme. Juste ressorti des querelles du conciliarisme qui réclamait la suprématie d'un concile sur le pape ce qui faisait déboucher l'église pleinement dans un schisme à la fin duquel l'église ne comptait moins que trois papes. Par conséquent, la plupart des prélats eût plutôt peur de se perdre encore dans d'aussi longs que futile débats.

Depuis la scolastique, l'esprit humain se fût libérer. Il eût affranchi les murs des monastères. On pourrait tout à fait dire que les sciences modernes naquissent avec le principe du « rasoir d'Ockham » en évoquant son célèbre énoncé « Entia non sunt multiplicanda praeter necessitatem » c'est à dire «  Les entités ne doivent pas être multipliées par delà ce qui est nécessaire » une citation qui est encore  allégué par Wittgenstein au 20ième siècle et où remonte au juste le refus de la plupart des sacrements de l'église de la part de Luther. Même, si Thomas d'Aquin insistât à désigner la philosophie comme la serve de la théologie, c'est avec la dispute sur les universalité qui déclenchât la renaissance de la liberté des pensées. L'unité sacrée du moyen âge, l'universalité médiévale qui eût tenu ensemble la vie quotidienne et éternelle, la mort, la foi, la théologie et la philosophie, l'empereur romaine et la papauté, l'église et la politique s'est brisée. Le lien entre Cieux et la Terre fût coupé. C'est la brèche par laquelle la liberté individuelle pût surmonter les murailles de cloitres.

Par contre, la liberté fait peur. Il n'est pas du tout évident de abandonner les marmites d’Égypte pour que l'on conquit sa liberté. Un certain actionnisme en résultait. L'universalité une fois perdue, les gens n'arrivèrent plus à faire confiance à leur croyance. Ils n'arrivassent plus à se confier à seule la foie en le salut éternel une fois opéré par leur saveur le Christ par moyen de son unique sacrifice cruenté à la Croix qu'il perpétuera pour tous à toujours auprès de Dieu. La croyance en Christ qui avait apporté la lumière de l'esprit aux ténèbres de sorte qu'il est vraiment devenu le précurseur légitime des grand philosophes des Lumières quand on se confie littéralement à ce qu'il eût eu prêché. Car, enfin, il réduit nos tâches à seule la foi et l'amour. Augustin en déduit son succinct compendium quand il nous appelle à aimer Dieu et faire ce que nous aimions. Mais, bien au contraire, ce fût alors que le gens commençassent à se demander que puis-je pour gagner le Ciel et  m'assurer la vie éternelle. La foie  ne leurs suffît plus, ils cherchassent dès lors une nouvelle expérience spirituelle. C'est là d'où surgit la « devotio moderna » ça veut dire « nouvelle dévotion » dont l’exemple phare est l’œuvre anonyme paru vers la fin du XIVe et le début du XVe siècle sous le titre « De imitatione christi » ca veut dire «  L'imitation du Christ » que l'on attribue à Thomas à Kempis. Quand même, le pire en est que l'on verra aussitôt les prélats mêmes de plus en plus apeurés et piégé dans l'angoisse de l'avenir coinçant l'église entre l'ultra réaction  et un modernisme exagéré. Une immobilisation totale qui se sera manifesté surtout entre les deux pôles extrême des deux Conciles du Vatican. Incapable d'appréhender le monde qui l’entoure, l'église aura eu l'horreur de la liberté personnelle de l'individu qui donnait libre cours à son esprit et son imagination intellectuelles bien que ce fût juste la liberté et le principe du libre arbitre précisément où la foi chrétienne se serait fondée et d'où sourd la lumière même qui nous mène à la connaissance des choses pour que l'homme sortît du servage de la mécréance et de la superstition où l'humanité se fût maintenu par sa propre faute.

Bientôt, nous assistions à la redécouverte de antiquité qui se répandît depuis l'Italie et enfin, l'invention de l'impression à caractères mobiles par Jean Gutenberg qui aura donné un énorme essor à la société et à la vie culturelle. Là, commençât la moderne. Un développement qui ne se terminera pas avant la Révolution de 1789. Le plus souvent, les historiens font en particulier mention de deux marques pour déterminer la fin du Moyen Age, c'est la découverte de l'Amérique par Christophe Colombe en 1492 de l'un côté et la Chute de Constantinople par les Ottomans en 1453 de l'autre. L'époque désignant la période de désagrégation de l'ordre médiéval s'étendait jusqu'à la Révolution Française, à moins que l'on se restreint à considérer seulement les nations de l'Europe continentale puisque ce développement ne touchait pas aux structures médiéval en  Angleterre où la plupart aura survécu jusqu'à présent, particulièrement au sein de l'église anglicane, eût eu compris tout l'intervalle après le débâcle qui eût connu la chrétienté lors des Croisades tout à fait commençant avec la croisade contre les cathares, donc une période comprenant la scolastique, le grand schisme occidental, le Conciliarisme et les conciles réformateurs du 15e siècle débouchant dans la Réforme, la culture atteignant son premier apogée dans la Renaissance, puis l'ère des guerres religieuses, la contre-réforme et le Confessionnalisme jusqu'aux Lumières où la philosophie amènera la liberté individuelle à un nouveau un comble inédit qui aura  bientôt débouché dans un changement déterminant du paradigme historique.

Revenant à ce qui l'époque centrale de nos recherches, il est indispensable de tenir compte de tout ce processus imparable et, de plus, indispensable pour le développement de l'humanité qui tels les israélites abandonne les marmites assurées des esclaves pour reconquérir la liberté. Ainsi, la fin du Moyen Âge, dans toute son envergure, est tout à fait un moment décisif où la base philosophique de nos démocraties modernes eût été fondée autant que le capitalisme et l'économie moderne des marchés tel que nous le connaissons jusqu'aujourd'hui.

La Renaissance, la liberté redécouverte fît tout basculer. La littérature, les arts et les sciences  de l'antiquité resurgissent et, avec eux , l'homme même réapparût sur scène. Enfin, c'est l'époque de la reprise de conscience et la connaissance de soi-même par l'homme. L'homme y est tout à fait aux retrouvailles de la liberté individuelle. L'individu réapparait sur scène. Après de longs siècle où l'âme de l'individu se fût retrouvée incarcérée dans le geôle de l'inconscience, l'individu ayant regagné son âme finît par se faire délivrer de ses geôliers ecclésiastiques partît à la reconquête de sa liberté. L'émancipation de l'individuel fait s'effondrer l'universalité du Moyen Âge. La philosophie finît par se défaire de ses chaînes lesquelles l'avaient réduit au servage pour la théologie. Elle se mît à faire sourdre la sagesse de l'antiquité gardée jusqu'alors à la dérobé de l'humanité derrière les fermes murs des cloîtres où les sciences furent claquemurées. Ces murailles une fois ébréchées et les forteresses de la connaissance démantelées la lumière se répandait. Désormais, la philosophie, les arts, la littérature, la musique frayèrent leur voie s'émancipant de la théologie.  Au début, c'est la philosophie qui eût eu tracé le chemin pour les arts et les sciences avec sa rentrée. D'abord encore déguisé en philosophie « scolastique », elle dégagea pourtant la liberté de l'esprit humain. C'est la scolastique qui eût déblayer le terrain. Les entraves de la religion enlevées, c'est ensuite la littérature et les sciences avant qu'enfin la musique se libérait de l'emprise de l'église.  De cette manière le monde eût aussitôt témoigné à la création des chef d’œuvres de l'art renaissance. La poésie, les grands drames, les comédies et tragédies, l'architecture et les grand tableau. On se remets aux études des vielles langues. La connaissance du vieux grec, l'hébreu se répandait partout. Désormais, les théologiens auront redécouvert la bible au-delà du dogme du latin. Ainsi, on révèle la bible hébreu à part de la Septante, la traduction en koinè de la bible hébreu. Ce qu'eût eu commencé à poindre en Italie, la rinascimento, la renaissance de la culture européenne se sera aussitôt répandu  à travers les Alpes. D'abord, c'étaient plutôt les grandes cours dont la protection et mécénat garançait  le libre développement des arts et des lettres. En particulier, la cour française, celles-ci du duc de Berry et des ducs de bourgogne et leurs successeurs aux Pays-Bas, notamment, les cours des gouvernantes néerlandais et d'autres célèbres femmes de la Renaissance dont leurs activités politiques et diplomatique dépassaient de loin l'habilité diplomatique des hommes politiques de l'époque sans parler de l'immense influence qu'ils eussent exercée à travers de leurs activités culturelles comme  Marguerite d'Autriche et Marie de Hongrie qui se fût appelé « Dame de Binche », où encore Renée de France, fille cadette de Louis XII et belle-sœur de François Ier et Marguerite d'Angoulême, reine de Navarre, toutes deux de remarquables femmes humanistes ayant reçu une formidable éducation sous la tutelle de Jacques Lefèvre d'Étaple, et qui, toutes les deux excellèrent dans les langues anciennes autant que dans la philosophie et la théologie. Tout à fait, Marguerite d'Autriche, Marie de Luxembourg et Louise de Savoie négocièrent la Paix Des Dames qui était conclue 5 août 1529 à Cambrai entre Charles Cinq et François Ier. En outre, il faut xxx C'est l'époque où on trouve tels hommes que Michel-Ange, Rabelais, Marot, puis la pléiade qui regroupât alors les plus célèbres poète de l'époque Pierre de Ronsard, le Cardinal Joachim du Bellay, le mathématicien Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baif, Pontus de Tayard et enfin Étienne Jodelle qui eût eu publié en 1553 la première tragédie humaniste « Cléopâtre captive » ainsi que la première comédie humaniste « L'Eugène ». Ensuite, du côté de la Théologie le cénacle de Maux qui se fût formé sous l'égide de l'évêque meldois, Guillaume Briçonnet, et la sœur même du roi François Ier, Marguerite d'Angoulême, visait à entreprendre une vraie réforme catholique à partir d'une profonde connaissance des source évangélique. Guillaume Farel, Gérard Roussel, Louis Berquin, François Vatable et enfin Jacque Lefèvre qui avait traduit le Nouveau Testament en français se fussent réunie autour de Briçonnet. Quand même, décrié, persécuté et condamné par les « Sorbonnagres » beaucoup d'eux se furent réfugié à la cour de Pau sous la protection de la reine de Navarre, Marguerite d'Angoulême qui elle-même faillit être brûlée si son frère le roi n'intervînt en son faveur. Par conséquent, il n'est pas étonnant que, pourchassés par la Sorbonne et les prélats d'une église rigide et intransigeant qui se refusait à toute reforme, la plupart d'entre eux se sera plus tard rallié au protestantisme. En même temps, le portrait aurait fait son entrée dans la peinture. En guise humble de simples représentations de portraits votives, peu après déjà leurs descendances eût hâte d'en faire de vraies portraits qui sont à l'origine des portraits individuels. Un encore plus remarquable essor eût connu la musique. Réduit jusqu'alors à l'usage du culte, son émancipation l'aura amené à de faîtes au-delà de l'imagination. Depuis les premières polyphonies inventées par les grands maîtres de l'école de Nôtre Dame de Paris à travers Guillaume Dufay et Josquin des Prés, Johannes Ockeghem et Roland de Lassus, Thomas Tallis et les autres compositeurs de la musique pour virginal comme William Byrd, John Bull et John Downland en Angleterre jusqu'à la représentation de la première opéra composée par Peri lors des noces de Ferdinand de Médicis et Christine de Guise en 1589 et enfin la création de l'opéra française  par Lully.

Pourtant, il faut avouer qu'avec tous les connaissance de l'antiquité il en affluassent de même toutes ses camelotes et saloperies voire immondices. La liberté n'est point à gagner à vil prix. Et, il faut absolument tolérer ces « mauvaises herbes » à moins que l'on ne veut pas étouffer la fragile liberté dans le germe. Certes, la liberté ressemble plutôt à un processus aussi infini qu'interminable. Une tâche d'apparence âpre et vaine. D'ailleurs, une expérience qui effrayera tous ceux qui préfèrent rester contrit dans leurs cabanes d'esclave à la proximité des marmites d’Égypte. Ainsi, c'est l'intégralisme et le fondamentalisme qui apparussent. Le dogme de la prédestination telles qu'elle fût défini par Jean Cauvin en donnes les raison puisqu'après lui il fallait tout à fait suivre son impulsion de conscience même en occurrence que celle-ci soit éperdument erronée. Par conséquent, alors on eût vu les premiers attentats politiques, Balthazar Gérard assassina Guillaume d'Orange, Georges Villier, le duc de Buckingham, fut assassiné par le fanatique John Felton et François Ravaillac eût commis l'attentat contre Henri IV. La liberté fait peur car c'est la contrainte de faire face à la réalité. Le dogme tel qu'il se présente par le biais du magistère apostolique n'est point en réalité rien d'autre que la face dénaturée de la croyance par de gens du pouvoir. Elle abuse le dogme afin d’oppression des masses. La croyance aveugle dissimule plutôt le réel, le dogme abusé par une idéologie quelconque et ceux qui ont peur de perdre leur pouvoir nous aveugle pour nous retenir dans la cave sombre de l'inconscience de nous-même et la inconnaissance de la lumière. Il est beaucoup plus facile de se confier à une autorité supérieur et s'abandonner tout à fait à une puissance présumée surnaturelle que d'assumer sa responsabilité tout seul. A cet égard l'Église se rapproche des idéologies puisque pas tout recours à la superstition aurait son origine dans la foi.   Toute idéologie produit ses mythes à soi qui offusque la vérité. Nos démocratie moderne, qui ont su donner le semblant de loi naturelle aux présomptions des marchés,  n'en ferons point exception. La vérité fait du mal autant que la liberté. Toutes deux nous effarouchent, elles nous troublent et elles nous incommodent et finiront par bouleverser le monde tel que nous l'eût eu imaginé dans nos rêves d'enfant. La peur constitue tout à fait une très forte impulsion qui nous immobilise jusque au point qu'elle nous amènera enfin à la violence. Elle nous envahisse plutôt à la dérobée pour commencer son minable travail corrodant en cachette sans que l'on la perçoive. Quand on aperçoit que l'on se sera piégé dans les mêlées de la peur, il fait déjà trop tard. Peu importe, si c'est dans nos vie au quotidien, au plan politique où si cela regarde les religions. Si on se réveille sous l'emprise de la peur, on a beau se battre, mais la peur ne lâchera pas prise pour autant. Quand même, l'homme semble nettement préférer la peur à la liberté. Dès que l'universalité eût disparu, la peur fait apparaître le pire dans l'humanité, en particulier, au sein de l'Église et dans les religions. Prétendant être juge infaillible par rapport aux mœurs et la foi, l'Église ne s'arroge pas seulement le seul valable jugement dans ces cas-ci, mais se veut aussi équitable juge de toute la terre, de la nature même. Il est d'autant plus facile de céder son jugement à autrui, lui confier son âme afin de s’acquitter une fois tout en se débarrassant d'une conscience pesante. Le système totalitaire comme les religions dogmatiques où les idéologies, nous bercent dans ce doux sommeil d'enfant surveillé où nous puissent perpétuer nos rêves. Ces idéologies nous dissimulent le réel de ce monde en nous feignant que le geôle soit enfin l'un de ces bosquet sacré de Grecs. Après tout, c'est comme ça qu'agit tout régime totalitaire afin que nous ne sortissions pas de nos bosquets pour ne pas perdre l'innocence. Il font de sorte de nous maintenir dans ce douce minorité d'où sortir nous eût inviter déjà le Christ.  L'ennemi juré de ces totalitarismes,c'est la libre pensée, le libre arbitre. Quand même, nul ne l'avouerait. Mais, là où l'imagination piétinera dans l'ordre du monde d'après le pouvoir apeuré. De telle sorte, l'histoire eût connu les croisades en Proche Orient, la persécution des juifs, le génocide des Albigeois, les guerres de religion du 16e siècle, le confessionnalisme du 16e siècle et la chasse aux sorcière qui se fût prolongée jusqu'au fin du 18e siècle. Outre cela, Rome observât tout libre penseur, scientifique, philosophe, tout libertin, les intellectuels et, pour ne les pas oublier, les homosexuels, bref ceux qui étaient différents avec méfiance et hostilité. Une fois prise pour cible, on avait beau se battre. Le terme portugais « autodafé » , ça veut dire « acte de foi » montre tout le dédain qui l'Église romaine eût porté à ceux qui dissidents. Tout à fait, c'est une ligne droite qui mène des bûchers de livres du 15e siècle à ceux des Nazis, des bûchers des sourcières aux chambres à gaz. Plus récent, au niveau politique, c'est l'Amérique où l'acte USA PATRIOT prétendant « unir et renforcer l’Amérique » contre le terrorisme ressemble fatalement à la loi allemande de pleine pouvoir de 1933 qui eût prétexté la « réparation la détresse du peuple allemand ». L'enjeu, c'est toujours la liberté. La peur nuit à tous. Elle rogne subrepticement nos démocraties et les acquis civique des Lumières – la liberté, l'égalité et la fraternité. La perdre est facile, la regagner est tout à fait très pénible, la maintenir encore plus. La liberté est plutôt un processus infini très complexe, un interminable jeu de forces où on doit toujours maintenir l'équilibre entre l'insensibilité d'individu et l'altruisme. Il faut toujours viser à accorder ses prédominantes impulsions d’amour de soi à l'amour d'autrui, balancer son naturel individuel et la nature universelle, pondérer la liberté et la responsabilité. Ainsi, la liberté, c'est enfin une pondération à perpétuité des forces agissant en sens contraire. En fait, le monde est complexe autant que la liberté. Il n'y pas de simples réponses aux questions qui nous viennent à la tête quand l'individu s'engagera à la quête de la vérité. C'est là l’échec du Christ. C'est le Christ même qui eût eu resté coi devant la simple question de Pilate ce qui était la vérité. Qu'est-ce que la vérité ? Personne n'y peut répondre. Nul ne l'osera. Elle nous échappe entièrement. La plus grande énigme, c'est qu'un fait quelconque existe. Et la vérité qu'elle que ce soit, existe quand même. Par contre, face à la complexité ceux qui se refusent à suivre la logique flèche sous le fardeau de la tâche de sortir de leur minorité. Ébloui déjà par le peu de rayons de la vérité qui pénètrent dans leur cave, ils n'osent pas abandonner les marmites d'Égypte. Et, ce que pire en est c'est que ni la politique ne semble plus prendre l'air de fier ses propres principes philosophiques à ce qui concerne les communautés séculaire, ni les hauts prélats de l'Église romaine semblent faire confiance dans ce sacrifice unique du Christ une fois pour toute accomplie en faveur de l'humanité pour nous enfin racheter de l'esclavage du péché de sorte que nous vivrons dès lors la liberté. Une liberté, d'ailleurs, qui nous rend capable de toucher à la vérité. Par conséquent, la liberté et la vérité seront liées l'un à l'autre étroitement. En effet, c'est une interdépendance irréfragable. Le plus que l'on s'attache à la vérité, plus trouvera-t-on la liberté. Sentence qui vaudrait de même à l'envers. Le plus que l'on appliquera la liberté, plus se rapprochera-t-on de la vérité. Enfin, la liberté est inconditionnelle ainsi qu'elle effarouche les dirigeants politiques, socioéconomiques où enfin religieuse. La liberté leurs apparaît plutôt insupportable puisque l'on n'arrive pas à la restreindre. Elle échappe à toute répression, à la restriction et au conditionnement. De là, ils ont l'horreur d'elle.

Le catholicisme fût jusqu'ici plutôt une religion libre exprimant un certain hédonisme puisque le dogme exige que l'on bénéficie de la plénitude de la vie de sorte de vivre en abondance. Le soi-disant « Moyen Âge » en tant que l'ère catholique, un terme intenté vexant, après tout, inventé par l’historiographie protestante afin de décrier toute une époque entière. Ainsi, on eût évoqué le spectre d'un « âge sombre » qui, en réalité, n'existerait jamais, au moins, au point que l'on l'eût prétendu.

Parmi toutes les répressions et persécutions du côté d'une église apeurée et intransigeante, les guerres de religions, les atrocités et velléité de l'époque, en France du 17e siècle surgissent les « libertins », terme signifiait d'origine les esclaves libérés en latin ainsi que ce mot se prête toute à fait bien à l'usage pour désigner les libres penseurs du 17e siècle jusqu'à nos jours et ce terme  convient à merveille pour dépeindre leur approche autant indépendante que individuel malgré les persécutions du côté « des dévots » qui représentassent tout à fait l'Église dans toute sa contrition face à la liberté. Une contrition, par ailleurs qui, sous l'empire de l'angoisse extrême de se voir éliminer par un monde qu'elle ne comprend plus, l'immobilisera de plus un plus.

J'ai trouvé pas mal d'articles qui suggèrent une nette dérive du terme « libertin » insinuant qu'il eût désigné d'abord une attitude philosophique pendant que ce terme ne signifiera plus qu'une attitude sexuelle. La liberté par contre, elle échappe autant à tout détermination que à un conditionnement quelconque. La liberté est absolu et inconditionnelle, telle que l'amour du Christ qui nous a racheté pour que nous eussions la liberté. Après tout, la liberté, la responsabilité respective et le respect réciproque, l'amour et notre sexualité voire la liberté sexuelle sont tous couplés d'une façon indissociable les uns aux autres de sort de faire bouleverser le principe de la liberté en éliminant une seule liberté. Le libre arbitre qui nous qualifie enfin à concevoir notre monde et à percevoir les rayons de la vérité nous éclairant ce monde ainsi qu'il nous rend capable à nous rapprocher au plus près à la vérité est, somme toute, aussi contraignant et coercitif que la responsabilité, le respect où la morale, dont dépend le libre arbitre et qui défend en fait la liberté ne l'est. En effet, c'est l'une des plus incompréhensibles énigmes de la philosophie qu'il n'y a pas un moyen adéquat pour astreindre quiconque à suivre la logique sans le forcer car nos pensées sont libre et puisque la liberté est un principe essentiel pour l'appréhension du monde, la philosophie échouera là, où elle cherche à assujettir l'individu de sorte de l'oppresser, elle altère la vérité comme n'importe quelle idéologie. Telle la responsabilité, la morale n'est pas une valeur telle quelle puisque plus que toute autre obligation humain, elle dépend du consensus social. Malgré sa nécessité indispensable pour la société, la morale, elle aussi, est indisponible que la liberté. Ensemble avec la conception du sacrifice, celle de la morale étant abusée et faussée sert trop souvent au dirigeants à maintenir leur pouvoir. Autant que la liberté, elle est susceptible à des moult manigances du pouvoir au fil du temps. Le problème, c'est que personne ne puisse amener quelqu'un qui ne la reconnaisse apriori à respecter une obligation et celui qui se sent obligé à faire son devoir et à remplir ses engagements n'aurait point besoin d'une morale coercitive. En plus, rien ne se fût jamais changé aussi rapidement et considérablement au cours de l'histoire de ce que l'on appelle habituellement « la morale ». Et, En outre, la chrétienté n'en fasse point exception.

Le catholicisme ne fut jamais une institution « morale » bien que « la morale » est un bien indispensable. La morale « impérative » n'eût pas fait apparition qu'après la corruption de l'universalité médiéval. On peut ici invoquer l'exemple des coutûmes nuptiales. Donc, l'Église n'eût eu pas connu une forme qui aurait eu une force obligatoire pour le sacrement du mariage que les époux se donnent réciproquement devant dieu jusque la forme fut enfin instauré par le décret « Tametsi » lors du Concile de Trente pour mettre fin aux mariages clandestins. Il faut annoter à cet égard que le seul fait de vivre ensemble notoirement avait suffit pour constituer un mariage pour la plupart du peuple, c'est à dire pour les pauvres, les indigents, ceux qui étaient dépourvu d'une fortune à léguer. Quand même, l'église angoissée de la liberté se fût depuis beaucoup moralisée. Mais, après tout, c'est cette même Église de la morale qui fait apparaître une immoralité inédite se vouant à seule sa pouvoir. Prétendant la morale, elle s'en abuse déguisé en piété pour soumettre les gens sous son ordre afin de ne pas perdre son pouvoir. À vrai dire, cela n'est simplement que la pure hypocrisie. L’Église a toujours eu recours à la violence pour s'imposer. Elle prêche l'amour et suit sa prédilection pour son pouvoir temporel. Elle préconise la charité et poursuit seul l’égoïsme du pouvoir. Telle que toute autre idéologie quelconque, l'Église reforge l'évangile de l'amour sur l'enclume de son idéologie. Une refonte qui en fait la caricature hypocrite de la doctrine d'amour qui prévaut les évangile et s'impose à toute morale. Une refonte qui fait de la foi une idéologie parmi d'autres. Coincée entre anti-modernisme et aggiornamento, elle peine à trouver sa place. L’église se voit dorénavant comme le rocher auquel déferle les vagues successives d'une  liberté qu'elle conteste faute d'une propre conception théologique à cet égard. L'église piégée par l'angoisse devant une liberté inédit qui lui fut promis par le Christ lors de son unique sacrifice. Toute effrayée par l'offrande cruenté même, elle préfère rester dans sa geôle, l'ultime refuge des craintifs et des contrits, des lâches et des mécréants. Effarouchée par un monde qu'elle ne comprend plus, apeurée des dangers et des périls qui puissent apporté la liberté, on voit une église réactionnaire qui reste immobilisée dans la cave de l'inconscience et de la méconnaissance du réel de ce monde. Ainsi, elle se rallie aux autres idéologies. La démocratie, la liberté menacées par les idéologies totalitaires telles que le fondamentalisme chrétienne, l'islamisme où encore par les présomptions d'un capitalisme déraillé. La liberté en péril de flécher sous le poids d'exigences du quotidien de la peur, on voit aujourd'hui évanouir plus que jamais les acquis des Lumières face aux nouveaux mythes. La raison cède devant la peur. Combattre ses propres revenants, c'est une tâche pénible et dure. Il est clair que c'est plus facile de rester auprès les marmites d’Égypte. Osons davantage. Osons savoir ! Confions nous au Christ qui a apporté la lumière jusqu’aux plus profondes ténèbres. En dépit de tout, on retrouvera sa vérité dans ce monde, voire même au sein de son Église.

Quand même, il était toujours aussi dur que vain de s'engager dans la lutte contre l'inconnaissance et l'irraison. Ceux qui l'ont fait à travers de siècle ont souvent été pourchassés et persécutés. De mon avis, ce soient les arts qui seront les meilleurs moyens aptes et idoines à nous faire appréhender le réel de ce monde en nous révélant une réalité invisible et insaisissable d'une façon autant intuitive que raisonnée. Pas seulement l'art transforme notre conscience du réel, mais il fait changer notre conception de ce monde en nous traduisant une possible vérité plutôt virtuelle en un langage universel de sorte de nous rendre capable de appréhender le réel de notre nature. Ainsi, l'art nous propose un aperçu inédit de l'ensemble des variés réalités où l'artiste garde ce « thauma » originel, ce frisson d'émerveillement que l’enfant ressens quand il reste bouche bée tout étonné face au fait. Un étonnement qui nous incite à la quête de la vérité et qui finit par nous ramener à l'origine de nos angoisses les plus profondes le fait de notre mort. Quand même, c'est ce même émerveillement qui nous dévoile le fait qu'il y aie davantage que le simple existence du fait en soi. Ainsi, les arts nous rendent capable de transcender l'être-ainsi au moment même où nous assumons notre mortalité. Tant que l'art ne cherche à combler les ruptures de nos vies, il nous aiguille au réel de ce monde, à la vérité. Donc, l'art nous trouble autant que le fait la liberté.

Ainsi, le Caravage dépose les saints de leurs trônes intouchable où une fausse piété les a mis. Les modèle d'après lesquels il peins ses héros et saints, sont souvent des prostitué et tapins. Les femmes et les garçons avec il avait entretenu de rapports sexuels. Ces débauchés lui servent à rendre ses héros et ses saints susceptible d'une troublante sentiment humain. Le Caravage ne nous cache rien. Il dépeint la cruauté de ce monde. Il ne voile rien, la mort, la violence, l'érotisme et ne cache rien. Il ne nous dissimule les fentes et fissures qui font crever nos rêve d'enfant, l'idée d'un prétendue beauté. Il représente le monde sans artifice nous désabusant de l'illusion d'un fausse beauté qui nous masque la vérité. Alors, le Caravage démaquillât ses héros sur la scène de ses tableaux. Il peins les saints en tant que d'êtres humains. Sa Sainte Lucie morte égorgée s'est effondré dans la boue. Le Caravage lui prive de sa splendeur de sainteté. Ce qui reste c'est la femme morte. Un déplorable cadavre qui évoque la compassion. Lazare ressuscité reste immobilisé, quand même. Son David semble déplorer la mort de Goliath autant que le bourreau de Saint Jean prend l'apparence de regretter la mort de celui-ci. Mais, la violence est loin de nous troubler comme le fait l'érotisme, l'attirance sexuelle que dégages ses corps. Des gestes équivoques, des désirs sexuels mis à nu. Ces beaux éphèbes qui s'offre volontiers à la vue du spectateur. Cela semble tout à fait encore plus susceptible à troubler davantage que tout autre.

Nous proposons sur notre site de textes des libertins francisais du 17ème siècle. Ce sont d'abord de textes des disciples du Jésuite Pierre Gassendi qui eut enseigné l'atomisme de Lucrèce et eût défendu la doctrine d'Épicure. Il se voua à la lutte contre la mécréance et la superstition comme la croyance en les feux infernaux  souterrain. D'abord d'être nommé professeur de mathématiques au Collège royal il eut eu enseigné en tant que précepteur aux familles nobles et aux jeunes gens sous leur protection. On y retrouve tels célèbres noms que Claude-Emmanuelle Lhuillier dit Chapelle. fils naturel de François Lhuillier, maître de comptes et conseiller au parlement de Metz, François Bernier, Jean Hesnault, Hercule Savinien Cyrano dit Cyrano de Bergerac, Molière, Nicolas Boileau, fils de Gilles Boileau, greffier de la Grande Chambre du Parlement de Paris et enfin La Fontaine. Ces libertins, dont beaucoup étaient homosexuels comme Chapelle qui fut l'amant de Barreaux, eussent brandi le fanion de la liberté des pensées contre les attaques du côté de la bande de faux dévots, les adeptes du Jansénisme, une sorte de piétisme catholique réfutés et condamné par la Curie. Parmi eux, on trouvera de même Jacques Vallée Des Barreaux ayant étudié au collège jésuite de La Flèche ensemble avec René Descartes qui fut son ami et Saint-Pavin dont il aura devenu plus tard l'amant. Barreau se fut lié d'amitié avec quelques-uns des plus important poètes de son époque  comme Guez de Balzac, Lhuillier dit Chapelle et Théophile de Viau. Ce dernier lui aura dédié le poème « Plainte à un sien ami » poésie qui révèle le caractère des sentiments qu'il lui avait apporté.

Payot de Linière écrivit ses vers pour lui : Des Barreaux, ce vieux desbauché, affecte une réforme austère, il ne s'est pourtant retranché, que ce qu'il ne sçauroit faire.

On y retrouve aussi l'écrivain et musicien Charles Coypeau d'Assoucy, pédéraste et l'amant de Cyrano de Bergerac, qui compose la pastorale « Les amours d'Apollon et de Daphné » qu'il fit représenter devant Mazarin et Louis XIV quelques années avant que son ami Lully aura produit sa première comédie en musique française. Fuyant en compagnie de deux pages de Paris après la rupture avec son amant Bergerac qui lui adressa de menace de mort, d'Assoucy raconta plus tard l'histoire de ses errances dans les « Aventures burlesque de Dassoucy » où l'auteur répond à l'accusation de sodomie de la part de Jean Loret, Bachaumont et Chapelle à l'égard duquel il écrit : « [..] il me cedoit fort librement la moitié de son lit. C'est pourquoy, aprés avoir eu de si longue preuve de la qualité de mes desirs et m'avoir bien daigné honnorer plusieurs fois de sa couche, il me semble que c'estoit plutôt à luy à me justifier qu'à Messieurs du Presidial de Montpellier, avec lesquels je n'ay jamais couché. » Quant à François Le Coigneux de Bachaumont qui appartenait lui aussi à ce groupe de libertins, il faut remarquer qu'il fit ensemble avec son ami Chapelle ce gai et plaisant « Voyage en Provence et en Languedoc » dont le rapport les aura immortalisé. Claude-Emmanuelle Lhuillier dit Chapelle, lui aussi un amant de Cyrano de Bergerac, mais aussi ami de Racine, fréquenta le célèbre salon de Marguerite de la Sablière le foyer du cénacle des libertins de la seconde moitié du 17e siècle. Son épitaphe dit : Ci-gît qu'on aima comme quatre, qui n'eut ni force ni vertu, et qui fut soldat sans se battre, et poète sans être battu. Puis, ce Hercule Savinien Cyrano qui y ajout a son nom « de Bergerac » d'une propriété de sa famille dans la vallée de Chevreuse. L'auteur de deux proto-romans « l’Histoite comique des Estats et empires de la Lune » et « l'Histoire comique des Estats et empires du Soleil » textes d'un language équivoque qui dégage une libertinage inédit côté homosexualité. Enfin, Théophile de Viau auquel on reprochait de poèmes obscènes, ses mœurs pédérastique et son esprit irreligieux qui écrivit la tragédie « Pyrame et Thisbé » et eut traduit « Phédon » de Platon sous le titre « Traité de l'immortalité de l'âme ».

Donc, nous vous invitons à découvrir les œuvres littéraires du 16e et 16 siècle pour mieux éclairer la scène où se déroule l'action de l'histoire et faisons de sorte de appréhender plus profondément ce monde.

© André & Frank Hagemann - Villa-Anemone.fr 2012